Comment lier BoxCryptor a un cloud ?

Passez la présentation en faisant défiler vers la droite et créez un compte en appuyant sur « S’inscrire ». Attention, si vos perdez votre mot de passe, BoxCryptor ne pourra pas vous le rendre. Après avoir validé la création du compte, faites ajouter un fournisseur. Dans notre cas nous avons choisi Dropbox, mais vous en trouverez une vingtaine d’autres. Vous verrez alors les dossiers/fichiers déjà présents sur votre cloud.

Comment faire un upload des fichiers ?

En bas de l’interface, vous trouverez un petit bouton + pour uploader. Choisissez de quel type de fichier il s’agit et sélectionnez-les dans la liste. Choisissez le Chargement crypté et vos fichiers (ici des photos) iront dans votre compte Dropbox. Attention, ils ne seront pas protégés en écriture (un pirate pourra les effacer).

Côté sécurité

Notez que dans la version gratuite, les noms des fichiers ne sont pas chiffrés. Bien sûr vous pourrez les renommer pour brouiller les pistes. Sans votre mot de passe, un pirate qui aura accès à votre compte Dropbox ne pourra pas les afficher. Par contre sur votre appareil, les photos ne seront pas chiffrées à leur emplacement d’origine.

Pour le partage des fichiers

Pour partager vos photos avec d’autres personnes, il suffit de les sélectionner dans l’interface et de sélectionner l’icône partage (les trois petits points reliés par deux traits). BoxCryptor va déchiffrer les fichiers à la volée et vous proposera une liste d’applis installées : Gmail, Whatsapp, Bluetooth, Facebook, etc. Vos amis recevront les fichiers en clair.

Les méthodes de gestion traditionnelles

N’hésitez pas à recourir à un guide pour gérer un projet de développement web afin d’enrichir vos connaissances dans ce domaine. La gestion des projets web repose sur un large éventail de méthodes théorisées. Parmi les plus anciennes, vous pouvez distinguer les méthodes dites « traditionnelles ». Leur principal avantage est que ces méthodes standard sont parfaitement adaptées aux projets web relativement simples. Elles se basent essentiellement sur le principe de l’itération. En d’autres termes, la finalisation d’une tâche spécifique entraîne le commencement d’une autre. Il faudra évidemment suivre un grand nombre d’étapes pour gérer efficacement tout projet digital.

La méthode Waterfall constitue la plus intuitive et la plus classique lorsque vous débutez dans la gestion de projets web. Il vous suffit de séquencer vos tâches dans le temps, c’est-à-dire de terminer les unes avant de passer aux autres. Cette technique linéaire est recommandée si vous connaissez au préalable le déroulé de votre projet.

La méthode du chemin critique ou CPM (Critical Path Method) est une autre technique, fonctionnant sur la base de l’interdépendance des tâches. Certaines seraient impossibles à réaliser tant que d’autres n’ont pas été terminées. Il devient donc utile de modéliser le déroulé du projet au moyen du regroupement des tâches disposant d’un lien de dépendance entre elles. Cette méthode implique aussi l’identification des tâches critiques. Ce sont celles qui sont incontournables et qui ne doivent pas faire l’objet d’un retard d’exécution.

La méthode de la chaîne critique ou CCPM (Critical Chain Project Management), quant à elle, est un procédé consistant à se concentrer au préalable sur les ressources indispensables pour effectuer les diverses tâches du projet. Cette méthodologie permet ainsi d’élaborer un emploi du temps avant de mettre en évidence la chaîne critique (tâches les plus importantes). Il sera ensuite possible d’allouer les ressources à ces opérations de type prioritaire.

La méthodologie PMI/PMBOK

La méthode PMI ou PMBOK est un process de gestion relativement efficace pour gérer un projet web. Cette méthodologie consiste en la décomposition de l’organisation de ce dernier en 5 étapes spécifiques (groupes d’actions ou groupes de processus). Elles sont listées par le PMI et sont développées dans le guide PMBOK :

• Initialisation ou « Démarrage » (définition et formalisation du projet en restant focus sur les compétences nécessaires, les ressources requises et la constitution de l’équipe par exemple) ;
• Planification (clarification des objectifs et création d’une feuille de route et/ou d’un plan d’action pour accomplir ces finalités) ;
• Exécution (mise en œuvre des actions planifiées et des potentielles actions correctives) ;
• Surveillance et Maîtrise (évaluation de l’avancement du projet et mise en évidence des éventuelles dérives) ;
• Clôture (formalisation de l’achèvement du projet et contrôle de satisfaction des parties prenantes).

Remarque : la méthodologie PMBOK peut être assimilée à une liste de conventions et de standards.

Les méthodes agiles

Les méthodes agiles figurent parmi les méthodologies de gestion de projet les plus récentes, mais aussi les plus appréciées. Elles ont la particularité d’intégrer diverses notions de complémentarité entre les différentes tâches. Ces process sont aussi plus flexibles malgré le fait qu’ils demandent plus de ressources financières et humaines.

Les méthodes agiles sont réparties en différents types et s’adaptent parfaitement aux projets web. Vous pouvez notamment opter pour la « méthode agile ». Elle fonctionne selon plusieurs principes. Il s’agit avant tout d’un état d’esprit consistant à porter une importance particulière sur les individus par rapport aux outils et aux process. Cette méthodologie met également l’accent sur l’adaptabilité au changement, l’écoute client et la performance opérationnelle. Elle constitue le cadre axiologique sur lequel les autres méthodes agiles sont construites, à savoir :

• Scrum ;
• Kanban ;
• Extreme Programming ou EP ;
• Adaptative Project Framework ou APF.

Chaque méthode agile fonctionne aussi bien par itérations ou sprints (cycles courts de 2 semaines) que par une estimation permanente des résultats obtenus. Il faut également la présence d’une communication continue entre le chef de projet et les diverses parties prenantes (clients, direction, etc.). Et, pour mieux répondre aux exigences de la clientèle, la capacité à faire évoluer le projet en cours de route s’avère utile.

Les méthodologies adaptatives

Les méthodes adaptatives sont des méthodologies axées sur la gestion des risques d’organisation. Elles sont aussi concentrées sur les divers changements de management générés par le projet. Parmi ces process, vous pouvez notamment distinguer l’Event Chain ou ECM. Son idée sous-jacente est qu’il est possible que des risques rattachés à des éléments extérieurs à l’environnement du projet puissent apparaître. La prise en considération de ces risques est nécessaire, de même que l’établissement d’un plan d’action pour résoudre leur matérialisation. En effet, le planning, et plus globalement la réussite du projet, est susceptible d’être impacté par les aléas, risques exogènes et/ou événements inattendus.L’Extreme Project Management ou XPM constitue une autre méthodologie adaptative. S’opposant à la méthode Waterfall, elle est efficace pour gérer les changements massifs. Sa mise en application offre la possibilité de modifier tout projet, mais aussi son budget et la nature du livrable final. L’objectif est de répondre de manière optimisée aux évolutions de besoin indépendamment de la nature du projet initial. Vous pouvez vous appuyer sur cette méthode pour mener à bien vos projets devant être réalisés en quelques jours ou semaines dans un cadre mouvant et complexe.

Les méthodologies business

Il existe aujourd’hui diverses méthodes de gestion et de pilotage de projet axées sur une approche « business ». Vous pouvez envisager le recours à ces approches pour réussir votre projet digital. Par exemple, le Lean Management est une méthodologie permettant de se focaliser sur l’optimisation des coûts. Cela passe par la décomposition des phases du projet en vue de définir et de supprimer les gaspillages et les goulots d’étranglement. À ceux-ci s’ajoutent les éléments pouvant représenter des dépenses inutiles ou engendre des retards.

La méthode Six Sigma, quant à elle, est une méthodologie qui se base sur la voix du client, l’analyse de données et la statistique. Elle permet d’optimiser l’efficacité et la qualité du processus via l’identification des problèmes et des défauts actuels avant leur élimination. Le produit final devra alors être parfait à 99,99966 %. Il est à noter qu’une méthode business combinant cette approche avec celle du Lean Management existe : c’est le Lean Six Sigma. Elle se concentre sur la suppression des ressources/tâches inutiles afin de rendre le processus moins coûteux, plus rapide et plus efficace. Ce dernier sera aussi plus adapté aux exigences du client.

Vous avez également le Process-Based Project Management consistant en l’alignement de l’ensemble des objectifs du projet sur les valeurs générales de la société et les objectifs stratégiques. Le projet est ainsi intégré dans un environnement plus large en différentes phases. Cela va de la formalisation du projet à la mise en place d’une démarche d’amélioration continue, en passant par l’établissement de dispositifs de reporting et de KPIs.

Movavi Picverse

L’alliance entre l’intelligence artificielle et l’interface facile à manipuler rend ce logiciel particulièrement efficace. En plus, il possède de nombreuses fonctionnalités qui séduisent tous les amateurs de retouche comme les filtres, les effets, la restauration des photos anciennes, et bien d’autres encore.

GIMP

De nombreux utilisateurs affirment être entièrement satisfaits dans l’utilisation de ce logiciel. Cependant, la navigation sur GIMP est plus complexe. C’est aussi le logiciel qui se rapproche le plus de Photoshop avec la possibilité de contourer les photos à traiter donc, de changer le fond.

Paint.net

Accessible sur Windows, ce logiciel fut créé comme étant la version améliorée de Paint de Microsoft. Mais il n’a rien à envier à ce dernier en ce qui concerne les fonctionnalités et les performances. Malgré tout, on peut faire différents types de retouches sur ce logiciel en ligne pour améliorer la luminosité, le contraste, le niveau de flou et autres, sur une photo.

Photo Pos Pro

Avec des fonctions identiques à celles de GIMP, cette application se différencie par l’existence du mode novice afin de faciliter la prise en main. Toutefois, quelques fonctions restent inaccessibles via ce mode.

PhotoScape

La performance de Photoscape vous permet d’éditer et de fusionner les photos selon vos désirs. Il rend également possible la création des GIFs animés.

SumoPaint

Ce programme est recommandé pour les professionnels en photographie qui ne veulent pas verser de l’argent en utilisant Photoshop. Les fonctionnalités de Sumopaint et de Photoshop sont presque semblables.

Pixlr

Avec des fonctionnalités classiques, ce logiciel permet de modifier les photos sans avoir à faire de téléchargement (light, effets, etc.). Son interface est également très claire et facile à comprendre.

iPiccy

C’est un logiciel en ligne performant et doté de plusieurs outils de personnalisation. De plus, la navigation sur iPiccy est agréable du fait qu’il existe plusieurs instructions pour vous guider.

ON1 Effects 10 Free

En tant que logiciel gratuit, les fonctions d’ON1 Effects 10 Free sont assez limitées. Cependant, il permet de créer des modifications uniques en appliquant un filtre ou un effet sur une petite zone de l’image à traiter.

PicMonkey

La version gratuite de PicMonkey séduit les utilisateurs par son interface agréable et facile à prendre en main. Toutefois, certaines fonctions avancées de cette application sont payantes. Il faut noter que PicMonkey est surtout spécialisé dans le collage.

Airbrush

C’est le seul logiciel dans ce classement qui est accessible sur un Smartphone. Il est très efficace pour les retouches à appliquer sur la peau et le visage de l’image à traiter.

Est-ce facile de pirater un compte Snapchat ?

Avez-vous peur pour l’intégrité d’un membre de votre famille qui a un compte Snapchat ? En effet, cette plateforme en ligne n’est pas sans danger parce que les personnes malveillantes sont partout sur le Net. Ces dernières ne respectent pas la nétiquette. Les menaces prennent la forme de langage obscène, de vidéos indécentes ou d’images provocantes. Il est de votre devoir de surveiller de près ce qui se passe sur le compte Snapchat de votre enfant, par exemple. Nul besoin d’être un pro de l’informatique pour pirater un compte Snapchat. Certes, ce n’est pas si facile que cela, étant donné que les stories et les Snaps disparaissent en 24 h. Les  » moments  » s’évaporent encore plus vite, ils s’en vont après seulement 10 secondes ! De plus, une fois disparus, ils le sont définitivement. Aussi, il peut arriver que vous ratiez des messages puisque bon nombre disparaissent en très peu de temps.

De quelles manières pirater un compte Snapchat ?

Vous pouvez découvrir des tuyaux pour pirater un compte Snapchat sur https://www.alucare.fr/comment-pirater-un-compte-snapchat/. Vous pouvez également utiliser une application de surveillance comme mSpy. Grâce à celle-ci, vous pouvez voir tout ce que votre enfant ou votre conjoint voit et fait sur son compte. Souscrivez un abonnement puis installez mSpy sur le smartphone cible, ensuite allez sur le portail en ligne. Sur le dashboard, cap sur la catégorie Réseaux sociaux et ensuite, Snapchat. Là se déroulent toutes les conversations de votre proche. Avec le Keylogger, vous pouvez retrouver les frappes au clavier, par conséquent, vous pouvez lire les messages envoyés et reçus. Une autre appli intéressante, c’est Mobix qui stocke les messages mais qui prend aussi des captures d’écran de l’interface. Vous verrez les stories, les Snaps, la localisation et tous les contenus de l’appareil visé.

Outils pour sauvegarder des stories Instagram

Les histoires éphémères sur Instagram peuvent durer plus de 24 h à condition que vous les enregistriez. Vous pouvez le faire même si vous n’êtes pas abonné et dans l’anonymat total. Il existe des solutions simples et gratuites pour sauvegarder des stories Instagram. Depuis un site dédié, entrez le nom du compte qui a posté la story visée. La liste des stories envoyées pendant les dernières 24 h sera alors affichée. Les sites en question sont nombreux, par exemple Toolzu, Inflact, Save-Insta ou Story Saver. Même avec votre mobile, vous pouvez vous servir de ces sites. Pour cela, utilisez une application telle que Documents By Readdle. Avec cette App, vous téléchargez des vidéos et des stories sur Instagram mais aussi partout sur le Net et ce, directement sur votre smartphone ou votre iPhone.

Sur PC ou sur iPhone, comment télécharger des stories Instagram ?

Pour un téléchargement efficace et simple des stories Instagram, utilisez IG Stories for Instagram, totalement gratuit. Comme il reste sur votre navigateur, vous pouvez y accéder rapidement si vous utilisez Instagram sur votre PC. Pour faire un download d’une story sur Instagram, efficace et simple, sur un smartphone, Android ou iPhone, utilisez l’application développée par iGram.io.

Pour iPhone en particulier, vous pouvez utiliser Story Reposter qui, à la base, est destiné à reposter des stories et n’importe quel contenu de votre choix. Cette application peut aussi servir à enregistrer les contenus, les stories y compris. Tant que celles-ci sont en mode public, vous avez tout à fait le droit de les télécharger. Vous pouvez être sûr que vous ne serez mentionné nulle part, ni votre compte ni votre nom. Vous pouvez republier ces stories plus tard. Si vous êtes une entreprise, elles pourraient être utiles pour communiquer avec vos clients, comme de la publicité. C’est un moyen pour vous démarquer de vos concurrents et pour vous faire un nom sur le marché.

Facile à utiliser

Comme son nom l’indique, l’écran tactile interactif a pour principe de se passer des périphériques. De ce fait, contrairement à celle des vidéoprojecteurs, son installation ne requiert pas beaucoup de temps. Ce gain de temps pourra ainsi être exploité afin de revoir les points essentiels de la réunion.

De plus, bien plus grand que les écrans tactiles pour smartphone, celui-ci permet à tous les collaborateurs d’avoir un visuel sur les données affichées. Ainsi, utiliser un écran interactif en réunion permet plus de participation de la part des participants car certaines fonctionnalités des nouvelles générations de ces écrans interactifs permettent aux collaborateurs de participer en temps réel, lors d’un brainstorming à distance (en télétravail).

À noter aussi que la fonction prise de notes de ces écrans est perfectionnée. De ce fait, aucune crainte à avoir en cas de coupure, car vos données seront sauvegardées automatiquement.

Gain de temps

Lors de la préparation d’une réunion, le temps est un point clé. C’est d’autant plus exact pour les réunions de soumission de projet. Soyez assuré qu’en faisant le choix d’utiliser un écran interactif, vous doublerez votre rendement temporel.

Ce produit permet à chaque collaborateur de faire défiler les informations en sa possession, en même temps et surtout en temps réel. Il sera donc possible de corriger et de perfectionner la présentation au fur et à mesure de la participation de chaque acteur. Un programme permet aux professionnels de créer des documents de présentation de qualité. Par ailleurs, fonctionnant comme une tablette, il vous offre la possibilité d’utiliser aussi bien un stylet que vos doigts.

Pourquoi le SEM ?

Depuis l’arrivée d’Internet sur toutes les plateformes, les sites Web et les blogs sont devenus de grands business pouvant aller jusqu’à l’international. SEM ou Search Engine Marketing sont l’une des méthodes utilisées pour y parvenir. Une société pourra alors embellir son visuel en créant un site Web à son image, par exemple. Cette tâche devrait d’ailleurs être facile pour n’importe quelle entreprise, car il suffit d’employer un développeur de site Web. Mais, le problème n’est pas: « Qui  pourrait le consommer », mais plutôt « Comment le faire parvenir aux clients ? ». Il est donc à noter qu’actuellement, il existe des millions, voire des milliards, de sites que chaque client pourrait visiter. Ainsi, pour éviter que ce dernier se perde dans un moteur de recherche, la stratégie SEM, qui n’est autre que l’ensemble du SEO et du SEA, est utilisée. C’est pour cette raison qu’il est nécessaire de connaître ces termes.

C’est quoi le SEO ?

Le référencement SEO est une stratégie de référencement dit « naturel ». Il est traduit de l’anglais « Search Engine Optimization » en français par « Optimisation pour les Moteurs de Recherche ». Il consiste à prioriser un blog ou un site Web, pour que ce dernier puisse apparaître aux premiers résultats d’un moteur de recherche. Il se base alors sur la nature du contenu, c’est-à-dire selon le contenu du sujet. En général, il est toujours gratuit.

C’est quoi le SEA ?

Contrairement au référencement SEO, le référencement SEA est payant. Développé en « Search Engine Advertising », il signifie au sens littéral « Publicités sur les Moteurs de Recherche ». Ici, il n’est plus question de nature du contenu. Les espaces publicitaires sont les plus privilégiés. À vrai dire, ils sont donnés aux enchères pour que les acheteurs puissent insérer des liens commerciaux dans les mots-clés. En guise d’exemple, il y a Google qui opte pour cette stratégie avec son fameux Google Ads.

Les objectifs de la publicité

La publicité permet de diffuser une information en masse sur l’existence d’un produit, d’un service ou d’un événement. Bien qu’il s’agisse d’une conception de qualité, elle ne va jamais être connue par le public si elle ne passe pas par cette voie. La promotion se fait ainsi dans un temps et avec un budget bien définis. Certains sujets de santé ou de sécurité peuvent également être diffusés pour faire passer des messages d’intérêt public. Aussi, la publicité permet de promouvoir une marque dans les plus brefs délais. L’univers de la marque est ainsi créé, et les clients cibles vont pouvoir s’y projeter.

Les différents acteurs de la publicité

En général, il existe 4 acteurs de la publicité :

• L’annonceur : il s’agit de l’entreprise qui souhaite promouvoir un produit, un service ou un événement. Comme elle est le maître d’ouvrage de la campagne, elle seule peut valider les démarches entreprises au cours de la conception. Elle en est donc la seule responsable quel que soit le résultat final.

• L’agence : il s’agit de l’organisme qui élabore les stratégies de communication. L’agence prend en main la conception, l’exécution et le contrôle des actions publicitaires de A à Z. Si vous avez un tel projet, confiez-le à une agence renommée. Par ailleurs, pour en savoir plus, il est important de s’informer auprès de professionnels.

• Les supports ou les médias : il s’agit de l’ensemble des vecteurs de communication publicitaires.

• La régie publicitaire : il s’agit d’une entreprise qui sert d’intermédiaire entre les médias et les annonceurs. Son rôle consiste à vendre les espaces publicitaires à ces deux acteurs.

Les différents types de publicité

Une publicité se présente sous 3 différentes formes :

• ATL ou Above the line : il s’agit de l’ensemble des activités promotionnelles qui se font au niveau macro. Ce type de publicité s’adresse au public de tout un pays, c’est-à-dire au niveau national. La télévision, le cinéma, la radio ou les journaux sont les supports utilisés pour promouvoir les produits et services d’une marque. La publicité est ainsi conçue dans les normes et dans les règlements de base pour cibler un public de masse.

• BTL ou Below the line : la publicité qui se fait par cette démarche ne passe pas par l’intermédiaire des médias. En d’autres termes, elle se fait au niveau micro de manière non-conventionnelle à travers le publipostage, les dépliants, les brochures, le télémarketing, les relations publiques, etc. Ce type de publicité permet notamment de fidéliser les clients et de répondre aux besoins individuels de chacun. Ainsi, les ventes et les retours d’informations peuvent être comptabilisés.

• TTL ou Through the line : il s’agit de la combinaison de l’ATL et du BTL pour permettre à une marque de se faire connaître sous différents aspects. Ainsi, les clients cibles vont apercevoir le produit, le service ou l’événement à la fois sur les chaînes de télévision et dans les différents prospectus distribués dans la rue.

Tizen

C’est le logiciel que les téléviseurs Samsung ont installé, et qui est basé sur le système d’exploitation Linux. Il possède son propre magasin d’applications de streaming que vous pouvez télécharger facilement. Compatible avec AirPlay et Chromecast, il vous permet donc d’envoyer du contenu depuis votre mobile Android ou iPhone vers votre téléviseur. Vous pouvez également accéder à Samsung TV Plus, un service exclusif qui permet un accès gratuit à plus de 100 chaînes sur divers sujets. Si vous téléchargez l’application SmartThings sur votre mobile ou tablette, vous aurez même la possibilité de contrôler le téléviseur et les autres appareils connectés de la marque.

Android TV

C’est le système d’exploitation de Google pour les téléviseurs. Il est utilisé par des marques telles que Sony, Philips, Hisense, Toshiba ou Sharp.
Android TV a été récemment mis à jour et s’appelle désormais Google TV. Il a subi une refonte de l’interface, pour le rendre plus fonctionnel et attractif. Le contenu est organisé intelligemment, par genre, thème et aussi par tout ce qui est tendance à tout moment. Vous pouvez également ajouter des films ou des séries à une liste, même depuis votre mobile.
Ce système est compatible avec Chromecast, permettant d’envoyer du contenu sur votre téléviseur à partir d’un mobile.

WebOs

La marque sud-coréenne LG utilise le système d’exploitation connu sous le nom de webOS dans ses téléviseurs. Ce système se caractérise par sa fluidité et sa facilité d’utilisation.
WebOs propose une grande variété d’applications, mais pas autant que Android TV. Les applications sont organisées en bandes ou en cartes en bas, similaires au système d’exploitation Samsung. Toutefois, vous pouvez également les placer dans l’ordre que vous souhaitez.

Les ultrabooks à clavier fin

Ce sont des modèles très mobiles et les plus récents sur le marché. Parmi les meilleures conceptions, on peut sortir du lot les modèles Surface PRO 7 de Microsoft et le modèle Galaxy TAB PRO S de Samsung.
Leur spécificité réside dans leur légèreté entre 700 à 800 g avec un écran de 12,3 pouces. D’une épaisseur de moins de 1,5 cm, il se glisse facilement dans une pochette du sac. L’écran Amoled, le clavier agréable, une bonne endurance et bien sûr des écrans à très haute définition… ils ont tout pour séduire.
Le choix d’ultrabook à clavier est pertinent et coûte entre 500 à 2000 euros. Bien entendu ils sont aussi fragiles que les autres ultrabooks.

Les ultrabooks à écran rotatif ou pivotant

Coûtant entre 250 à 1900 euros, ils sont toujours aussi fins et disposent d’un vrai clavier. Les écrans tactiles sont généralement en Full HD (1920×1080 pixel). L’innovation de cet ultrabook demeure dans le fait qu’il peut se plier à 360 ° et prend l’apparence d’une tablette une fois retournée.
Si nous devions en choisir un, ce serait le Spectre 360 ° 14 de HP. Avec une finition Châssis, écran Oled, webcam et lecteur d’empreinte Windows Hello et un chargeur compact c’est un ultrabook exemplaire. D’une épaisseur de moins de 1,7 cm et un peu plus de 1,3 kg, son autonomie dépasse les 10 heures.

Les ultrabooks standards et moins chers

Si votre budget est entre 129 et 1700 euros, vous avez un large choix. Mac Book Air est le premier modèle de ce type développé par Apple. Cet ultrabook se comporte exactement comme un ordinateur portable classique sauf qu’il est plus léger, plus fin et montre une meilleure autonomie. Le MacBook Air M1 est plus léger et fonctionne dans un silence absolu avec une autonomie de 18 heures.